Les idées reçues sur le community management :
Les idées reçues sur le community management
Le digital connaît un développement inédit dans notre société actuelle et il impacte fortement le marché du travail et ses nouveaux emplois qu’il génère. En tant qu’internaute, nous profitons des différentes pages web pour nos loisirs ou nos activités professionnelles, notamment les réseaux sociaux. Seulement connaissiez vous le métier de Community manager? Celui qui gère les pages Facebook, Twitter, Instagram des entreprises? Voici un point sur cette nouvelle profession et sur les idées reçues qu’il véhicule.
1) Non un Community manager ne passe pas ses journées sur Facebook
En marketing, le social media est un axe central dans le développement d’une entreprise : on ne cherche pas seulement à créer de la notoriété, mais à développer une proximité ludique avec les internautes, à travers des communautés. On utilise la marque pour créer du trafic, de l’interaction entre l’entreprise et les consommateurs, pour faire en sorte que la frontière entreprise / particuliers soit de plus en plus fusionnelle et que la communication sur les valeurs qu’elle véhicule soit davantage partagée.
Oui, le community manager passe de nombreuses heures sur les réseaux sociaux, mais c’est une activité très réfléchie qui fait l’objet d’une stratégie très pointue puisqu’elle s’adresse au grand public par un media gratuit.
2) Non, le community Management n’est pas un effet de mode
Les réseaux sociaux ont fait leur apparition depuis maintenant plus de dix ans aux Etats Unis. Il ne s’agit pas d’un effet de mode mais d’un véritable avènement qui modifie et influe nos habitudes de vie. Il faut prendre du recul pour connaître les début de Facebook, Twitter, Instagram pour comprendre qu’ils font désormais partie du paysage de notre quotidien. Ce sont des sociétés solides, dont certaines sont cotées en bourse et permettent aux entreprise d’une part de créer des emplois, et également d’installer leur communication envers des communautés et non plus des cibles.